Le second volet montre comment, à travers l’éclatement de la bulle immobilière et la crise des subprimes des années 2000, le « piège à pauvres » s’est refermé. Il décortique les rouages de la « machine à dette » et expose avec clarté les logiques boursières qui ont mené à la crise mondiale actuelle. Dénonçant l’impunité des « banksters » et leur emprise sur la classe politique occidentale (aux États-Unis, on parle même d’un « gouvernement Goldman Sachs »), les réalisateurs concluent leur enquête sur un chiffre éloquent : les principaux dirigeants financiers mondiaux totalisent 95 milliards de dollars de salaire alors qu’ils ont accumulé 1 000 milliards de perte…